Bâtiment de la corne de brume au bout du Cap Fréhel.
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Fort-la-Latte
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L'entrée du Fort-la-Latte. A partir de ce point c'est payant ! 5€20 avec une visite guidée. Ça les vaut.
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Notre guide explique le fonctionnement du pont-levis.
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Blason de la famille Gouyon. Le fort s'appelait anciennement le château de la Roche-Goyon.
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Une meurtrière du donjon du Fort-la-Latte.
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La cour intérieure du Fort-la-Latte avec au fond la chapelle.
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Les pigeons ne craignent pas les remparts du Fort-la-Latte.
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Fort-la-Latte
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Intérieure de la chapelle du Fort-la-Latte.
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Plaque écrite en latin et située à coté de la Chapelle du Fort-la-Latte:
"Hoc castellum
seculo XIV Roche Goyon nuncupatum
XVII Fort La Latte dictum
rediit pristinum statum annis MCMXXXVI
auctorieus Frederico Jouon des Longrais
et uxore Yolande de la Taille Tretinville
industriam et sumptus conferentibus
Regente Petro Paquet
et Paulus Vorin initio et Lucianus Prieur diutius
architecti publici publicum aes
operibus adhibverunt
Indigenae fabri studium et sollertiam in operam contulerunt
fratres et Maria Angelus et Iohannes Lemarchand strenui structores
Franciscus Durand et Paulus Pansard impavidi materiarii
Iohannes Durand lignarius artifex
fratres Levacon periti scanducarii
ceterique iuvante Stephano Doyet custode
Furore teutonica partim combusto
aere publico restauratum fuit
regente Johanne Sonnier
capitali architecto publico
conspectus protectus fuit decisione status consilii
cum prohibitione aedificandi anno MCMLXVII
capella benedicta fuit pristino anno
Utinam aremoricum hoc castellum
cuius refectio feliciter finita
magnae molis erat
pie servetur a posteris
longum in aevom"
dont la traduction serait
"Ce chateau, qui s'appelait Roche Goyon au 14e siècle, et Fort La Latte au 17e siècle, a été restauré dans sa forme d'autrefois en 1936, grâce aux contributions et à l'activité de Frédéric Jouon des Longrais et sa femme Yolande de la Taille Tretinville.
Les travaux furent conduit par les architectes des monuments historiques Pierre Paquet et Paul Vorin, puis par Lucien Prieur, grâce à des fonds public.
Les artisans de la région réunissèrent une main-d'oeuvre habile et passionnée : Jean Lemarchand et sa soeur Marie-Ange, maçons diligents ; François Durand et Paul Pansard, ébénistes intrépides ; Jean Durand, charpentier adroit ; les frères Levacon, escaladeurs (?) expérimentés, tous les assistants, ainsi que le gardien Stéphane Doyet.
En partie brulé par la fureur allemande, il fut rebati grâce à des fonds public sous la conduite du distingué architecte des monum
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